Évidence latente
Exposition personnelle
23 octobre – 12 décembre 2021
Vernissage 23 octobre / 17h
Parc des Aubrys, Aubais
Personal exhibition
2021, October 23 – December 12
OpeningOctober 23 / 17:00
Aubrys Park, Aubais
Haute ligne jaune
« Karine Debouzie fait des gribouillages, des croquis, des dessins informels. Elle dessine dans l’espace à l’aide de matériaux issus de l’industrie, ces tuyaux jaunes ou noirs lui apportent une coloration très prenante, une « couleur importée »* d’une évidence visuelle quand ses installations sont déployées dans l’espace d’un jardin, d’une façade, d’un lavoir ou d’une galerie. Cette «haute note jaune» souligne, surligne les lignes de ses dessins dans l’espace pour former des volumes qui deviennent une entité presque compacte se frottant à la sculpture.
Simplicité des matériaux et des outils, degré zéro du dessin, énergie latente, distorsion physique des matériaux en extension, Karine Debouzie crée des réseaux inextricables de lignes entremêlées mais néanmoins très composées, très maîtrisées. Ses structures pendues dans l’espace intérieur créent des ombres et un avatar au mur, alors que, lorsqu’elles flottent en extérieur elles prennent vie par le mouvement provoqué par le vent et parfois certaines se détachent pour féconder la terre.
Au fil des réalisations de Karine Debouzie, nous constatons la même obsession de recycler la vie dans des représentations poétiques qui dépassent la simple matière recyclée pour convoquer le léger, le ludique, l’esprit lutin. »
Luc Lerouge Octobre 2021
« Karine Debouzie fait des gribouillages, des croquis, des dessins informels. Elle dessine dans l’espace à l’aide de matériaux issus de l’industrie, ces tuyaux jaunes ou noirs lui apportent une coloration très prenante, une « couleur importée »* d’une évidence visuelle quand ses installations sont déployées dans l’espace d’un jardin, d’une façade, d’un lavoir ou d’une galerie. Cette «haute note jaune» souligne, surligne les lignes de ses dessins dans l’espace pour former des volumes qui deviennent une entité presque compacte se frottant à la sculpture.
Simplicité des matériaux et des outils, degré zéro du dessin, énergie latente, distorsion physique des matériaux en extension, Karine Debouzie crée des réseaux inextricables de lignes entremêlées mais néanmoins très composées, très maîtrisées. Ses structures pendues dans l’espace intérieur créent des ombres et un avatar au mur, alors que, lorsqu’elles flottent en extérieur elles prennent vie par le mouvement provoqué par le vent et parfois certaines se détachent pour féconder la terre.
Au fil des réalisations de Karine Debouzie, nous constatons la même obsession de recycler la vie dans des représentations poétiques qui dépassent la simple matière recyclée pour convoquer le léger, le ludique, l’esprit lutin. »
Luc Lerouge Octobre 2021